Alex Harvey, nato a Saint-Ferréol-Les-Neiges il 7 settembre 1988 è il fondista canadese che ha a Lahti in Finlandia vinto il titolo mondiale 2017 nella gara più ambita, ovvero la 50 chilometri, davanti al russo Sergey Ustiugov, già dominatore di molte gare di Coppa del Mondo, e al norvegese Sjur Rothe.
Alex è figlio del fondista e ciclista Pierre Harvey a sua volta atleta di alto livello.sua volta atleta di alto livello.
]In Coppa del Mondo ha esordito il 9 febbraio 2008
a Otepää (46°), ha
ottenuto il primo podio il 18 gennaio 2009 a Whistler (3°) e la
prima vittoria il 18 gennaio 2014 a Szklarska
Poręba.
In carriera
ha preso parte a due edizioni dei Giochi olimpici invernali, Vancouver 2010 (21° nella 15 km, 32° nella 50 km, 9° nell'inseguimento,
4° nella sprint a squadre,
7° nella staffetta)
e Soči 2014 (non conclude la 15 km,
19° nella 50 km, 19° nella sprint, 18° nell'inseguimento,
12° nella sprint a squadre),
e a cinque dei Campionati mondiali, vincendo cinque medaglie.
Mondiali[
- 2 ori (sprint a squadre a Oslo 2011; 50 km a Lahti 2017)
- 1 argento (sprint a Falun 2015)
- 2 bronzi (sprint a Val di Fiemme 2013; inseguimento a Falun 2015)
Mondiali juniores:
- 1 argento (10 km a Malles Venosta 2008)
- 2 bronzi (10 km,
inseguimento a Tarvisio 2007)
Coppa del Mondo
Piazzamento in classifica generale: 3º nel 2014
- 10 podi (7 individuali, 3 a
squadre):
- 3 vittorie (2 individuali, 1 a
squadre)
- 3 secondi posti (individuali)
- 4 terzi posti (2 individuali,
2 a squadre)
Coppa del Mondo - vittorie[
Data
|
Località
|
Nazione
|
Spec.
|
18 gennaio
2014
|
SP TL
|
||
15 gennaio
2017
|
TS TL
(con Len Valjas) |
||
21 gennaio
2017
|
15 km TL
|
Legenda:
TL = tecnica libera
SP = sprint
TS = sprint a squadre
TL = tecnica libera
SP = sprint
TS = sprint a squadre
Coppa del Mondo - competizioni intermedie:
- 3 vittorie
- 6 secondi posti
- 2 terzi posti
Coppa del Mondo - vittorie di tappa[modifica | modifica wikitesto]
Data
|
Località
|
Nazione
|
Competizione
|
Disciplina
|
16 marzo
2012
|
3,75 km
TL
|
|||
28
dicembre 2013
|
4,5 km
TL
|
|||
15 marzo
2013
|
30 km
PU
|
Saint-Ferréol-les-Neiges
Origine
et signification C'est
à 48 km de Québec et à juste au nord-est de Beaupré, que se niche cette
municipalité, sur les contreforts est du mont Sainte-Anne, à l'ouest de
Saint-Tite-des-Caps. D'abord exploré en 1693 par le chanoine Louis Soumande
(1652-1706), à l'occasion d'une expédition de chasse, le territoire, baigné par
la rivière Sainte-Anne qui coule dans sa partie est, reçoit dès 1728 quelques
familles qui s'y installent à l'invitation des dirigeants du Séminaire de
Québec, propriétaire de l'endroit; ces gens venaient pour la plupart de l'île
d'Orléans.
En 1801, la paroisse de Saint-Ferréol voit le jour et sera officiellement instaurée en 1871, par suite de son détachement des paroisses de Saint-Joachim et de Sainte-Anne-de-Beaupré. Cette appellation, reprise en 1845, puis en 1855 sous la forme Saint-Féréol tant par le bureau de poste que par la municipalité de paroisse, sera arrêtée dans sa forme actuelle en 1978, laquelle apportait une correction à la graphie Saint-Féréol(un seul r)-les-Neiges fixée en 1969.
Cette hésitation orthographique est tributaire de l'origine dénominative des lieux identifiés en l'honneur de Jean Lyon de Saint-Ferréol (1692-après 1744), qui signait son patronyme tantôt avec un seul r, tantôt en le redoublant.
Cet ancien supérieur du Séminaire de Québec (1726-1734) arrive au Canada en 1726, occupe le poste de grand vicaire de l'évêque de Québec (1734-1735) et de curé de Québec avant de retourner en France en 1737.
La paroisse avait été érigée sur le fief du Séminaire, la seigneurie de la Côte-de-Beaupré.
Les Neiges soulignent la prospérité fondée sur la qualité de la neige que l'on retrouve sur le mont Sainte-Anne et qui attire plusieurs touristes d'hiver au pays des Saint-Ferréolais.
En France, par ailleurs, on retrouve un phénomène similaire avec des appellations comme Fay-le-Froid (Haute-Loire) et Saint-Paul-le-Froid (Isère). Saint-Ferréol-les-Neiges est jumelée avec Clusaz en France.
En 1801, la paroisse de Saint-Ferréol voit le jour et sera officiellement instaurée en 1871, par suite de son détachement des paroisses de Saint-Joachim et de Sainte-Anne-de-Beaupré. Cette appellation, reprise en 1845, puis en 1855 sous la forme Saint-Féréol tant par le bureau de poste que par la municipalité de paroisse, sera arrêtée dans sa forme actuelle en 1978, laquelle apportait une correction à la graphie Saint-Féréol(un seul r)-les-Neiges fixée en 1969.
Cette hésitation orthographique est tributaire de l'origine dénominative des lieux identifiés en l'honneur de Jean Lyon de Saint-Ferréol (1692-après 1744), qui signait son patronyme tantôt avec un seul r, tantôt en le redoublant.
Cet ancien supérieur du Séminaire de Québec (1726-1734) arrive au Canada en 1726, occupe le poste de grand vicaire de l'évêque de Québec (1734-1735) et de curé de Québec avant de retourner en France en 1737.
La paroisse avait été érigée sur le fief du Séminaire, la seigneurie de la Côte-de-Beaupré.
Les Neiges soulignent la prospérité fondée sur la qualité de la neige que l'on retrouve sur le mont Sainte-Anne et qui attire plusieurs touristes d'hiver au pays des Saint-Ferréolais.
En France, par ailleurs, on retrouve un phénomène similaire avec des appellations comme Fay-le-Froid (Haute-Loire) et Saint-Paul-le-Froid (Isère). Saint-Ferréol-les-Neiges est jumelée avec Clusaz en France.
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